mardi 18 juin 2013

Les jardins collaboratifs, créateurs de bonheur

« Chaque jardinier croit s'y connaître mieux que les autres jardiniers. » Voilà ce qu’affirme un proverbe chinois sur les activités du potager. Pour mettre ses connaissances en commun et jardiner tout en partageant, les jardins collaboratifs s’imposent dans les villes. Une alternative agréable pour ceux qui ne peuvent cultiver chez eux.

Je veux jardiner ! Oui mais où ?


Le problème qui se pose en ville est le même pour beaucoup de personnes : on ne possède pas de jardin, pas même un bout de terre ou de balcon pour cultiver. Certains se lancent dans la culture tout de même – avec plus ou moins de réussite – d’autres abandonnent l’idée d’avoir un jour un jardin à soi. De ce constat est née l’idée des jardins partagés. Ces terrains sont utilisés entre voisins ou participants et permettent à chacun d’entretenir sa parcelle et de faire pousser ce qu’il souhaite. Créés pour offrir aux citadins une alternative aux jardinières de balcon, ce sont des lieux d’échange et de partage.

La convivialité avant tout


Cultiver dans un jardin communautaire, c’est avant tout rencontrer d’autres personnes. Cette initiative donne la possibilité aux habitants d’une ville de se rencontrer dans un cadre de détente, et de partager. On y croise des personnes dont on n’aurait jamais pu faire la connaissance en temps normal et on discute autour de son arrosoir.
Outre ce lien social, le jardin partagé est aussi un moyen de cultiver soi-même ses plantes. Ainsi, on peut déguster des fruits et des légumes frais de saison. Une alternative plus qu’intéressante à l’heure du bio.

Jardin Collaboratif


Je plante, tu plantes, nous plantons



Les jardins communautaires sont une initiative qui perdure depuis de nombreuses années. La moitié de la population mondiale réside en ville et la demande de verdure ne cesse d’augmenter. Ces potagers de ville sont de plus créateurs d’emploi, puisqu’ils sont souvent gérés tout au long de l’année par un organisme. Jardiner à plusieurs est l’occasion de se réunir autour d’une passion commune et de se retrouver pour passer des moments uniques.

vendredi 30 novembre 2012

Présentation d'un paysagiste du Maine et Loire

Le paysagiste angevin Verthème propose l’entretien de votre jardin ou la conception d’un aménagement paysager à votre demande. 
Verthème est un paysagisted’Angers reconnu pour ses services de qualités et ses réalisations originales. 

Mon objectif est de créer un jardin selon vos envies. 

Les professionnels de Verthème se déplacent chez vous et réalisent une étude des possibles aménagements paysagers. Verthème est un paysagiste qui apporte ses conseils et son expertise en vue de répondre correctement aux envies de sa clientèle. Des plans d’aménagements et des schémas d’ambiance sont fournis à la demande. Verthème joue avec les matériaux et les éléments pour construire des aménagements naturels et agréables. Pour aménager ou entretenir votre jardin, contactez Verthème, paysagiste à Angers, sur le site www.vertheme-paysagiste.com.


mercredi 10 octobre 2012

L'avantage de la serre de jardin


Si vous disposez d'un jardin assez grand, dommage de passer à côté de la serre de jardin, dans laquelle vous pourrez cultiver toutes sortes de légumes. Fini les problèmes d'hivernage, véritable contrainte pour le jardinier : avec la serre de jardin, les végétaux reposent à la température idéale (entre 12 et 15°). Vous pouvez contrôler la température, la luminosité mais aussi l'apport en eau de vos plantes et végétaux.

Contactez un fabricant de serres de jardin

samedi 6 octobre 2012

Les bienfaiteurs du jardin


Dans un jardin de cultures associées, il ne faut pas utiliser de poison car on n'en a pas besoin. La nature a pensé a tout ! Il existe en effet de nombreuses espèces d'insectes utiles.


  • Le carabe doré mange les petites limaces et les larves d'insectes dans le sol. Il vient également à bout de chenilles qui font souvent beaucoup de dégâts.
  • Les perce-oreilles se goinfrent de cochenilles et de pucerons ; mais ils ne restent dans le jardin que s'ils trouvent des caches, par exemple sous des récipients ouverts : des pots de fleur remplis de déchets de bois conviennent bien.
  • Les coccinelles et leurs larves sont d'impressionnantes tueuses de pucerons
  • Bien d'autres encore !


Aménagez des endroits pour que les oiseaux y fassent leur nid, installez une mare ou faites des tas de bois mort qui serviront de refuge aux hérissons : ces ennemis naturels des ravageurs s'installeront dans votre jardin.


jeudi 4 octobre 2012

Le jardin est plus productif si les plantes s'accordent

Les plantes s'influencent. Faute de bien savoir de quelle manière, on ne comprend pas pourquoi celle-ci pousse bien une année et pas une autre. Les attirances et les répulsions des plantes entre elles sont parfois surprenantes.

Faire de bonnes associations pour développer le rendement

Le rendement du potager peut augmenter grâce aux associations de plantes qui valorisent mutuellement leur potentiel biologique et les protègent également contre leurs ennemis.
Les salades par exemple auront du mal à pousser si elles sont plantées à coté du persil. En effet, l'aromate émane des substances trop agressives pour la laitue. A l'inverse, le céleri et le chou fleur sont complémentaires et chacun a besoin de ressources différentes. Pour finir, des plantes ne s'apprécient pas elles-même, à l'image des carottes. Si on en replante au même endroit sans changer la terre, la risque de végétation augmente.

lundi 24 septembre 2012

La multiplication par graines


Multiplication par graine : pourquoi faire ?


Certaines plantes se prêtent assez facilement à la reproduction par graines : chez les plantes ornementales c'est le cas de la plupart des annuelles. Pour d'autres, au contraire, faire des semis s'avère beaucoup plus difficile, comme le montrent de nombreux arbres et arbustes dont les graines sont souvent soumises à des périodes de dormance voire de double dormance, ou bien qui sont enveloppées de téguments extrêmement protecteurs, ligneux, en tout cas très durs. Même dans la nature, ces graines ont du mal à germer et il est fréquent qu'elles sèchent ou qu'elles pourrissent avant d'avoir germé.

La multiplication par graines peut aussi présenter des problèmes d'un autre ordre. Parfois les graines ne donnent pas naissance à des plantes ayant les caractéristiques souhaitées : on n'obtient pas toujours à partir d'une graine récoltée sur une plante portant des fleurs de telle couleur une plante aux fleurs de la même couleur. Par exemple, on obtient très souvent à partir des graines de certains rhododendrons rouges des rhododendrons à fleurs bleu lavande pâle, et les graines des Cornus à fleurs rouges donnent presque toujours des plantes à fleurs blanches.

graine rhododendrons


À l'opposé, il existe des plantes qui ne donnent naissance à une progéniture identique que si elles sont multipliées.

Avantages de la multiplication par graine


Comparée à d'autres formes de reproduction des plantes, celle par semis offre de nombreux avantages, surtout pour les jardiniers amateurs. En principe, le semis est une technique simple, qui n'exige pas de connaissances théoriques et pratiques particulières. C'est aussi une technique économique : avec les espèces qui donnent beaucoup de graines, on peut obtenir des quantités considérables de plantes nouvelles à partir d'une seule.

Par ailleurs, beaucoup de plantes sont plus vigoureuses lorsqu'on les multiplie par semis que lorsqu'on les multiplie par bouturage. Grâce à leur système racinaire robuste on peut utiliser les jeunes plantes comme porte-greffe pour recevoir ensuite des boutures de variétés, pour la plupart ornementales, possédant un système racinaire plus faible. Un autre avantage est que les maladies provoquées par les virus et les mycoplasmes ne sont pratiquement jamais transmises par les graines. On peut multiplier par semis des plantes que l'on trouve difficilement dans le commerce.

Il est facile d'expédier les graines d'un endroit du monde à l'autre, si l'on respecte évidemment les différentes lois phytosanitaires qui sont parfois assez rigides dans de nombreux pays. Effectivement, introduire des espèces non autochtones peut présenter des risques : certaines plantes transportées d'un continent à l'autre, même si le transport fut le fruit du hasard, ont été à l'origine de véritables invasions dans le nouveau territoire, qu'elles ont occupé puisqu'elles n'y avaient pas d'ennemis naturels.

graines : avantage et inconvénient

Les inconvénients de cette méthode


Par contre, en ce qui concerne les désavantages, on observe souvent une différence entre les plantes mères et leur descendance obtenue par semis.

Cette différence s'explique par le fait que les gènes des deux parents se combinent et font que les plantes filles naissent avec des caractéristiques différentes (c'est ce que l'on appelle la variabilité). Il s'agit d'un problème qui ne concerne, presque exclusivement, que les professionnels qui doivent être en mesure de garantir à leurs clients la régularité variétale d'une plante. Ce mécanisme est véritablement fondamental pour les professionnels de l'hybridation, les créateurs de nouvelles variétés qui s'appuient sur les lois génétiques à l'origine de la variabilité au sein d'une espèce pour obtenir de nouveaux cultivars, plus vigoureux, des cultivars au port différent, dont les fleurs et le feuillage auront des couleurs encore plus belles, qui offriront une meilleure résistance aux maladies et aux parasites, qui s'adapteront plus facilement à des conditions climatiques difficiles... Il faut noter que, dans la nature, c'est justement la variabilité qui a permis, entre autres, que les espèces s'adaptent peu à peu aux modifications de leur environnement et qu'apparaissent, d'abord grâce à la sélection naturelle, ensuite par la sélection du fait de l'homme, des variétés provenant de celle que l'on appelle « l'espèce type ».

Un autre désavantage est que, en général, les plantes issues de semis traversent une phase juvénile au cours de laquelle elles arborent des caractéristiques totalement différentes de celles qu'elles auront adultes.

mardi 18 septembre 2012

Le problème du Gui

Depuis peu, on dit que le gui est menacé. C'est-à-dire que, pour certaines espèces placées dans des conditions climatiques non adaptées, il existe peu de chances de survie.
Le mystère qui entoure le gui, sa réputation de plante médicinale (dans l'immunothérapie) ainsi que la vue gracieuse du gui en fleur, en font une des plantes préférées dans le jardin. C'est en automne et en hiver que le gui est le plus visible.
Gui dans les arbres

Souvent planté de manière isolée, ce végétal considéré en partie comme un parasite ne fera pas de dé¬gâts importants à un arbre sain. Mais si le gui se trouve en grande quantité sur un arbre, son attaque sera à la longue fatale pour cet arbre, car les racines de la boule de gui pénètrent profondément et puisent de l'eau et des substances nutritives nécessaires à l'arbre. La seule manière de sauver un arbre que le gui envahit consiste à scier les branches attaquées en tenant compte du fait que les racines de gui s'étendent jusqu'à environ 1,5 m de l'endroit central.

mercredi 12 septembre 2012

Le cancer de l'arbre

Cette maladie touche également les arbres, qu'elle fait énormément souffrir. Comme pour l'homme, il vaut mieux prévenir que guérir...


Combattre les maladies chez les arbres


Les plaies provoquées par le cancer doivent être éliminées très profondément pour arriver jusqu'à l'endroit où le bois est sain. Ensuite on referme la plaie avec, par exemple, de la résine d'arbre (que l'on trouve dans les magasins spécialisés).
On peut également ne rien mettre du tout sur les plaies; d'un point de vue écologique, c'est préférable à un traitement chimique. Si on prend l'optique de ne rien faire, l'important est de vérifier que la partie atteinte reste propre, notamment en faisant une coupe nette. Il faut empêcher que l'humidité ne stagne dans les parties fibreuses, l'eau doit absolument pouvoir s'écouler.

Pour accélérer le processus de guérison de manière positive, on peut faire des entailles dans les fibres formant le bord de la plaie (dans la partie intérieure du coussinet qui se crée), et cela jusqu'à ce que la plaie soit complètement fermée. Vous aurez certainement constaté par expérience personnelle qu'une plaie qu'on ne recouvre pas guérit plus facilement. En cas de cancer de l'arbre, l'endroit malade sera découpé. Le processus de guérison peut être accéléré par de petites entailles pratiquées dans le bord de la plaie.
Mais dans les deux cas, l'hygiène joue un grand rôle. C'est souvent l'emplacement qui est responsable du cancer des arbres; des sols trop lourds ou des veines d'eau souterraines en sont responsables. Si on n'arrive pas à maîtriser la maladie, il faut mordre dans les derniers fruits récoltés et couper l'arbre. Le nouvel arbre devra être planté à un autre endroit. Les sols argileux doivent avant cela être améliorés sur une profondeur de 1 m (avec un mélange sable- gravier). Les sols humides doivent être drainés.

cancer de l'arbre

Retrouvez d'autres informations et conseils sur la thématique du végétal et l'aménagement paysager sur notre blog.

jeudi 28 juin 2012

Abri de jardin

Quel chance d'avoir un jardin, il vous offre la possibilité de faire pousser de bons légumes, d'étendre votre linge lorsque le soleil est au zénit, de cultiver de magnifiques fleurs pour réaliser les plus beaux bouquets. C'est aussi l'idéal lorsqu'on partage sa vie avec un animal de compagnie. Surtout si c'est un grand chien, le fait de pouvoir courir en tout liberté rendra le Toutou très heureux. Au fond de votre jardin vous pouvez y installer un abri qui sera de bien pratique puisqu'il vous permettra d'y remiser un bien des choses...



Vous trouvez dans le commerce une large gamme d'abris de jardin. La fourchette de prix varie selon la matière, les dimensions. Il y en a pour toutes les bourses. Les plus petits ne font qu' 1 à 2 m², vous en trouvez en panneaux nervurés en acier galvanisé ou en bois bien plus esthétique, à monter soi-même en kit. Tout dépend de l'usage que vous souhaitez en faire.

jeudi 21 juin 2012

Protéger ses cultures

Protéger ses cultures est essentiel si l’on souhaite les retrouver en parfaite santé au printemps. Si la plupart des plantes ou des arbres survivent bien aux rigueurs de l’hiver, d’autres cultures plus frileuses ont besoin de soins attentifs et particuliers.
Avant l’arrivée de l’hiver et du grand froid, il faut protéger ses plantations par du paillis au pied de chaque culture, un voile d’hivernage sur la tête et un manchon de paille tout autour.



Les plantes sont alors armées pour affronter les frimas de l’hiver tout en ayant assez d’espace pour respirer. Ces accessoires de jardinage possèdent le double avantage de protéger les cultures et d’être décoratifs. Les souches et racines méritent une attention particulière avec des chaussons à leurs pieds. Pour éviter le durcissement du sol par le gel, il vaut mieux couvrir les pieds des plantes vivaces, des rosiers ou encore des arbustes par des chaussons bien chauds.