Depuis peu, on dit que le gui est menacé. C'est-à-dire que, pour certaines espèces placées dans des conditions climatiques non adaptées, il existe peu de chances de survie.
Le mystère qui entoure le gui, sa réputation de plante médicinale (dans l'immunothérapie) ainsi que la vue gracieuse du gui en fleur, en font une des plantes préférées dans le jardin. C'est en automne et en hiver que le gui est le plus visible.
Souvent planté de manière isolée, ce végétal considéré en partie comme un parasite ne fera pas de dé¬gâts importants à un arbre sain. Mais si le gui se trouve en grande quantité sur un arbre, son attaque sera à la longue fatale pour cet arbre, car les racines de la boule de gui pénètrent profondément et puisent de l'eau et des substances nutritives nécessaires à l'arbre. La seule manière de sauver un arbre que le gui envahit consiste à scier les branches attaquées en tenant compte du fait que les racines de gui s'étendent jusqu'à environ 1,5 m de l'endroit central.
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